« L’intelligence collective au service des compétences du 21e siècle » constitue la nouvelle thématique des TraAM documentation 2022-2023. Ce scénario pédagogique tente de répondre à la problématique : « Quelle(s) pédagogie(s) info-documentaire(s) mobiliser pour questionner le rapport des élèves à la recherche d’informations et à la création de contenus à travers l’intelligence collective ? ». Ce projet s’inscrit dans le cadre de la participation à un prix littéraire, L’échappée littéraire, et prend la forme d’un atelier lecture jalonné de deux temps distincts : l’arpentage littéraire d’un titre de la sélection 2023-2024, suivi d’un activité d’écriture mobilisant un outil d’intelligence artificielle. Cet article combine à la fois la réflexion conduite autour de la définition projet et le scénario pédagogique.
1. Le contexte du projet
L’échappée littéraire est un prix visant la découverte de la littérature et la création graphique contemporaine à destination des lycéens de Bourgogne-Franche-Comté. Ma collègue de lettres a fait le choix d’inscrire une classe de BTS Parcours Ingénieur première année, projet auquel je me suis naturellement greffée. Les étudiants découvrent les huit titres de la sélection parmi deux genres littéraires (romans, BD/romans graphiques), et auront l’opportunité de rencontrer deux auteurs dans chacune de ces catégories. Dans le cadre des TraAM, je souhaitais principalement focaliser mon action sur la lecture et articuler apprentissages info-documentaires et lecture, en mobilisant donc l‘intelligence collective.
Les apprentissages des uns facilitent ceux des autres.
Source de la citation : Hadji, C. (s. d.). « Apprendre au XXIe siècle » , un pari sur l’intelligence collective. The Conversation. https://theconversation.com/apprendre-au-xxi-siecle-un-pari-sur-lintelligence-collective-106551
En réalisant quelques recherches, j’ai découvert la méthode de l’arpentage littéraire, constituant le point de départ de mon projet, avec l’intention d’ajouter une touche d’intelligence artificielle.
2. Cadrage du thème
Avant tout, il m’a fallu inscrire mon projet dans la thématique des TraAM, afin de cadrer mon scénario pédagogique au cœur des compétences du 21e siècle et de l’intelligence collective plus particulièrement, et de viser des objectifs pédagogiques spécifiques.
Un article publié dans la revue « Formation et profession » présente une analyse de référentiels internationaux sur les compétences du XXIe siècle, numériques et informationnelles. Une tendance se dégage quant aux habiletés définissant ces compétences, à savoir :
- la collaboration,
- la communication,
- la citoyenneté,
- la résolution de problèmes,
- la pensée critique,
- la créativité,
- la littératie numérique
- et la littératie informationnelle.
Habiletés que nous pouvons retrouver dans le modèle #5c21- Les cinq compétences clés pour le 21e siècle développé par Margarida Roméro (2016).
La problématique choisie met aussi l’accent sur une ou des pédagogies info-documentaires à penser pour « questionner le rapport des élèves à la recherche d’informations et à la création de contenus à travers l’intelligence collective ». L’enjeu est double : il s’agit d’interroger les élèves sur leur rapport à la recherche d’information et leur pratique informationnelle, et d’encourager une production collective en posant sur la table les questions du choix de l’outil, des droits de publication et de diffusion, des droits d’auteur, etc.
La dernière étape consiste à réfléchir à comment établir la passerelle entre la lecture par arpentage et la recherche informationnelle.
Le contexte et le cadre posés, voyons ce que l’on entend par arpentage littéraire.
3. L’arpentage littéraire
Née à la fin du 20e siècle, la lecture par arpentage était pratiquée par les ouvriers pour s’approprier des textes législatifs ou politiques. Cette méthode a ensuite essaimé dans des groupes d’éducation populaire afin que la connaissance se propage dans toutes les classes sociales et qu’elle ne soit pas réservée exclusivement à une élite. Cet article de Wikipédia apporte un éclairage socio-historique rapide mais suffisant pour cerner le contexte et la technique de l’arpentage.
L’arpentage est une méthode de lecture collective d’un livre […]. Lors d’un temps déterminé, plusieurs participants se partagent un document écrit et chacun lit individuellement une courte partie de ce document. Ensuite, les participants partagent aux autres membres du groupe le contenu de leur lecture (Source : Wikipédia).
L’arpentage littéraire est une technique de lecture/découverte collective d’un ouvrage en vue de son appropriation critique. Elle permet d’aborder et de discuter d’un livre par l’intelligence collective. Elle constitue un outil de co-construction des connaissances. Elle offre l’occasion aux lecteurs d’apprendre à interpréter et à construire leur propre chemin de lecture, et de les « mener vers le débat interprétatif » (Vibert, 2013).
L’arpentage repose donc sur la dynamique de groupe, la pratique collective et le partage de la lecture. Il nécessite un engagement du lecteur pour atteindre l’objectif commun de lire et comprendre ensemble. Il est une mise en mouvement l’intelligence d’un groupe. Les phases de recueil ou de collecte d’informations et de capitalisation sont essentielles pour permettre l’étude collective et l’analyse de l’ ouvrage.
Un atelier d’arpentage littéraire se concrétise selon un protocole précis. Le site LectureJeunesse.org présente sept étapes consécutives. D’autres proposent la méthode en quatre étapes, et de façon plus condensée. J’ai préféré retenir le pas à pas séquencé de manière à bien cibler chacune des étapes et guider les lecteurs.
- Pas de tentative de lecture en amont (à l’exception des enseignants).
- Présentation du principe et de la technique de l’arpentage, ses étapes incontournables.
- Constitution des groupes si nécessaire et selon l’effectif.
- Distribution des extraits ou chapitres du livre, équitables en nombre de pages.
- Temps de lecture individuelle + prise de notes personnelle. Fixer une durée pour cette étape.
- Mise en commun, retours à chaud par des réactions libres : chaque groupe résume sa partie, ce qu’il a retenu, compris, perçu. Il fait part de ses hypothèses de lecture ; ses commentaires ; des expressions ou phrases marquantes ; des questions qui restent en suspens. Il peut décrire une ou deux idées fortes ; expliquer ses désaccords ou incompréhensions ; citer les mots incompris.
- Phase de capitalisation : collecte des informations de chacun des groupes et restitution collégiale.
- Puis, procéder à des jeux d’association pour donner une visibilité au travail d’investigation à mener par la suite.
4. Séance 1 : la lecture par arpentage
Durée | Prévoir 2 voire 3 heures (dans l’idéal en continuité) |
Lieu | CDI |
Niveau | Post-Bac : BTS Parcours Ingénieur 1ère année |
Effectif | 13 étudiants |
Disciplines, enseignants | Culture générale – Documentation
Collaboration professeure de lettres, professeure documentaliste |
Contexte | Participation à un prix littéraire |
Objectifs pédagogiques |
|
Matériel | PC , vidéoprojecteur, papier cartonnée, pâte à fixe |
Déroulement | Préparation en amont :
1. Présentation de la technique de l’arpentage littéraire et des étapes incontournables à l’aide d’un support (voir ci-dessous). 2. Distribution des feuillets au hasard. 3. Lecture individuelle + prise de notes personnelle (environ 40-45 minutes) en fonction des éléments présentés dans le point 1. 4. Mise en commun et capitalisation (phase de collecte et restitution) : chaque étudiant – dans l’ordre chronologique de l’histoire – rend compte oralement de ses découvertes aux autres membres du groupe et appose sur le mur, ses étiquettes en fonction des différentes catégories. |
Support | Lien à consulter |
Bilan |
L’accueil réservé à cet atelier de lecture par arpentage a été positif. Certains étudiants étaient impatients d’expérimenter cette technique de lecture collective. Un étudiant a exprimé une frustration quant au fait de ne lire au hasard, qu’un passage du livre : « Mais on ne va rien comprendre du tout ». Finalement, c’est lors de la phase de restitution qu’il a pu associer les différentes pièces du puzzle et comprendre le schéma narratif du livre, et l’intérêt de cet atelier. A la question : avez-vous compris le sens général de l’histoire ? Tous ont répondu oui. Le succès de cette première expérience a été facilité par le choix du roman. Clara lit Proust se prête bien à l’exercice. L’histoire se présente sous la forme d’un feuilleton. Telle une série, on suit les aventures des différents protagonistes sans chronologie apparente. Chaque page ou dizaine de pages relatant une scène du quotidien. Si la création des catégories permet de cadrer et baliser la phase de restitution, les retours se restreignent parfois à quelques noms et prénoms de personnages. Le résumé est très souvent occulté… Certaines confusions en termes de compréhension – inévitables lors d’une lecture par arpentage – ont été effacées. Cette partie mérite donc d’être revue pour améliorer le dispositif de capitalisation. Nous avons été dans l’obligation d’ajouter un temps supplémentaire pour renforcer le partage des prises de notes des étudiants, lever certains doutes sur les personnages, les événements. Cette proposition d’atelier a également conquis ma collègue de lettres, qui souhaite réinvestir cette méthode lors de futures collaborations. L’arpentage littéraire est modifiable à souhait et adaptable à différents contextes, disciplines, lectures de documents. Il offre ainsi une diversité d’approches pédagogiques sur tout type de supports. La lecture complète de l’ouvrage reste bien évidemment une finalité. Cette technique a l’intérêt plutôt bénéfique de stimuler l’envie de lire. 95 % des étudiants s’engagent à lire l’ouvrage dans son intégralité. Les 5% restants n’accrochent pas à l’histoire et au genre du roman. Tous les chemins mènent à la lecture ou l’arpentage mène à la lecture ? Pour conclure L’arpentage littéraire est un outil d’accès à la lecture et à la culture par le partage et la réflexion critique. Bien plus qu’un atelier lecture, il constitue outil de réappropriation du savoir à travers le principe de co-construction des connaissances, en empruntant un cheminement de type investigation (démarche de lecture hypothético-déductive). Dans notre contexte (prix littéraire), il est une entrée et le support d’une démarche pour soutenir les apprentissages info-documentaires, en questionnant le rapport des étudiants à la recherche d’informations et à la création contenus à travers l’intelligence collective. |
5. Séance 2 : la démarche de rédaction assistée par un chatbot
Suite à la séance 1 dédiée à l’arpentage littéraire et au cours de laquelle la compétence « Collaboration » a principalement été travaillée, la séance 2 a pour finalité d’apprendre avec l’intelligence artificielle. Les étudiants en BTS sont invités à rédiger la quatrième de couverture du roman « arpenté », en réinvestissant les informations disponibles sur le mur de collecte.
Cette séance pédagogique intégrant l’intelligence artificielle dans les apprentissages, nous pouvons nous appuyer sur le modèle théorique #PPai6 développé par Margarida Romero, Simon Duguay, Guillaume Isaac, Sylvie Barma, Caroline Duret, Laurent Heiser etVivien Lake (2023). Il accompagne les enseignants dans les phases de conception et de mise en œuvre d’activités d’apprentissage où l’intelligence artificielle est un soutien à l’engagement créatif individuel, collectif et transformatif de l’apprenant.
En termes de compétences, nous pouvons positionner cette seconde séance en face des deux items :
- Création de contenu : « l’apprenant comprend comment générer du contenu IA. Réflexion sur la provenance des données de l’IA et sur le droit d’auteur ».
- Cocréation de contenu : utiliser un outil d’IA générative « pour affiner, ajuster une idée […] et aller plus loin dans ses apprentissages ».
Durée | 2 heures |
Lieu | CDI |
Niveau | Post-Bac : BTS Parcours Ingénieur 1ère année |
Effectif | 13 étudiants |
Disciplines | Culture générale – Documentation (collaboration professeur de lettres, professeur documentaliste) |
Contexte | Participation à un prix littéraire |
Objectifs pédagogiques | Imaginer et rédiger la quatrième de couverture de l’ouvrage arpenté (Clara lit Proust de Stéphane Carlier) seul, puis assisté par un chatbot. Analyse comparée de sa production au regard de celle de l’IA. Faire preuve d’esprit critique quant au contenu généré par l’IA. Identifier et s’interroger sur la plus-value et les limites de l’IA dans le cadre de l’activité proposée : quelles améliorations apportées par l’IA ? Se questionner sur la notion de plagiat. |
Utilisation du numérique | Utilisation d’un chatbot basé sur l’IA |
CRCN | Domaine 2 : Communication et collaboration Compétence 2.1 : Interagir Compétences 2.4 : S’insérer dans un monde numérique |
Matériel | PC , vidéoprojecteur |
Déroulement | Introduction de séance : – Rappels de la séance 1, – Présentation de la séance 2 et des principaux objectifs : rédiger la quatrième de couverture du roman Clara lit Proust en réinvestissant le mur de collecte, de manière individuelle dans un premier temps, puis en s’assistant d’un chatbot dans un second temps. S’interroger sur les avantages et les limites de l’usage de l’IA pour ce type d’exercice, – Éléments de définition en amont : IA, chatbot, – Lecture d’exemples de quatrième de couverture, – Qu’est-ce qu’une quatrième de couverture ? Quels sont les invariants ? – Conseils pour rédiger sa quatrième de couverture (voir la fiche outil associée). Étape 1 : relecture Étape 2 : rédaction individuelle Étape 3 : rédaction assistée Discussions sur ce qui a été amélioré ou non, critiques à chaud. Étape 4 : avantages et limites Étape 5 : bilan / conclusion de la séance Étape 6 : avant de partir…. |
Support | Lien à consulter |
Évaluation des acquis, transfert | Auto-évaluation des contenus créés par les étudiants dans une perspective d’amélioration. Transfert : réaliser un travail similaire avec assistance d’un outil d’IA. |
Ci-dessous deux études de cas, complétés des retours/analyses des étudiants :
Cas n°1 : lorsque que les étudiants ont demandé au chatbot de REFORMULER leur proposition d’origine.
- Le chatbot génère du vocabulaire soutenu, dont certains termes n’ont parfois pas de lien direct ou de sens avec le contexte du roman (par exemple, le chatbot utilise « rumeurs » au lieu de la version « potins » utilisée par une étudiante. Le terme « potins » convient davantage à l’histoire),
- Il ne sait pas gérer les subtilités de la langue française et déforme les propos, le contexte des phrases,
- Il alourdit le texte d’origine avec du vocabulaire soutenu, brisant le ton léger de départ,
- Il conserve la structuration initiales : chronologie des idées développées,
- Il conserve le nombre de lignes,
- Il ne fait pas de fautes d’orthographe et les corrige d’ailleurs.
Cas n°2 : lorsque que les étudiants ont demandé au chatbot de CORRIGER, AMÉLIORER leur proposition d’origine.
- Les propositions du chatbot sont plus pertinentes de manière générale,
- La structure et l’agencement des idées sont améliorées,
- Il corrige les maladresses, les tournures de phrases,
- Il ajoute des expressions pertinentes, plus contextualisées (un étudiant lui a demandé d’améliorer son texte à la manière d’un auteur rédigeant une quatrième de couverture = contrainte d’écriture).
Les avantages et limites de l’utilisation d’un outil d’IA générative :
Bilan et conclusion de la séance :
Nous avons pu lister en fin de séance quelques recommandations d’usage d’un chatbot dans le cadre précis de ce travail, transférables à d’autres types d’exercice ou contextes :
- Importance de relire/vérifier les contenus générés par le chatbot (niveau de langage, déformation du sens des propos),
- Faire preuve d’esprit critique : « reprendre la main » pour retravailler le contenu généré par l’IA, se l’approprier,
- Question d’ éthique, de plagiat à soulever –> des outils permettent aujourd’hui de vérifier l’usage des chabots lors d’examens). Qui est l’auteur ?
- Utiliser au moins deux outils d’IA pour comparer les contenus. Il était prévu ici d’utiliser Bing chat, mais le manque de temps n’a pas permis de tester cet outil,
- L’art du prompt, ça s’apprend ! Ou comment bien rédiger un prompt : nécessité de formuler des prompts précis, qui se précisent au fil de la conversation pour aboutir à des réponses adéquates, répondants aux attentes de l’usager,
- Ne pas hésiter à reposer une même question quelques minutes après avoir mis fin à une conversation. Faire plusieurs essais, comparer,
- Veiller à la formulation des verbes d’action dans les prompts : reformuler # améliorer #corriger,
- Ne pas se limiter à un seul prompt. Il faut converser avec l’IA, affiner sa requête,
- Ajouter des contraintes dans les prompts (« à la manière de… », « en x lignes », « en évitant les répétitions »),
- Un outil participant à la créativité de l’humain, gain de temps, compagnonnage de l’humain, assistance des tâches du quotidien mais vigilance sur le contenu produit. Ne pas se contenter d’un copier-coller.
6. Conclusion générale
Suite à la conception et à la mise en œuvre de ce scénario pédagogique, une réponse possible à la problématique initiale « Quelle(s) pédagogie(s) info-documentaire(s) mobiliser pour questionner le rapport des élèves à la recherche d’informations et à la création de contenus à travers l’intelligence collective ? », nous pouvons évoquer un « soutien à l’apprenant » avec :
- Un environnement d’apprentissage exploratoire,
- Un système de tutorat basé sur le dialogue,
- Une évaluation formative des écrits,
- Un apprentissage assisté par l’IA.
La première séance dédiée à la lecture par arpentage a mobilisé l’intelligence collective et a servi de situation déclenchante pour la création de contenus. Le chatbot est utilisé ici comme outil de soutien, l’apprenant se focalisant sur le processus d’apprentissage. Nous pouvons mentionner le modèle de parcours utilisateur critique avec un agent conversationnel.
7. Ressources consultées
Giacomotto, G. (2023, 15 mars). Arpentage – Inter CDI. http://www.intercdi.org/tag/arpentage/
DUPALA – D’un(e) prof à l’autre. . . (s. d.). https://dupala.be/article.php?a=606
MAUS, Z. (2021). L’arpentage ou le partage collectif du savoir. Fiches pédagogiques de l’&, 4 p. https://www.ciep.be/images/BoiteAOutils/FichePedagEspeluette/108FPedEsper.pdf
Gaussel, M. (s. d.). Lire pour apprendre, lire pour comprendre. Édupass. https://edupass.hypotheses.org/824
OCDE (2000). La littératie à l’ère de l’information. Paris : OCDE.
Nonnon Élisabeth (2007). « Goody Jack. Pouvoirs et savoirs de l’écrit ». Revue française de pédagogie, Recherches en éducation, n° 161, p. 123-126.
Vibert Anne (2013). « Faire place au sujet lecteur en classe : quelles voies pour renouveler les approches de la lecture analytique au collège et au lycée ? ». Paris : ministère de l’Éducation nationale.
DNE-TN2 (2023). Intelligence artificielle et éducation : Apports de la recherche et enjeux pour les politiques publiques [Billet]. Éducation, numérique et recherche. https://edunumrech.hypotheses.org/8726
Allouche, A. E. (2023, 10 février). IA génératives et ingénierie pédagogique : le prompting, pistes de travail et applications. Éducation, numérique et recherche. https://edunumrech.hypotheses.org/9934
Carrefour de l’enseignement et de l’apprentissage de l’UQAC, Fiche de présentation d’outils ou de logiciels d’intelligence artificielle. UQAC (PDF 221 Ko), (2023), sous licence CC BY-NC-ND.