Cet article réflexif est le fruit d’une collaboration dans le cadre des TRAAM Documentation 2023-2024 sur le thème de “l’intelligence collective au service des compétences du XXIème siècle”. Il pose la question de l’écriture collaborative et de la plus-value d’environnements numériques de travail dans la mise en place de podcast.

Le journaliste est un professionnel aux prises avec l’écrit. Pourtant, les qualités stylistiques que son activité requiert peuvent se voir parfois déniées. “La différence entre littérature et journalisme, c’est que le journalisme est illisible et que la littérature n’est pas lue.” [1] (Wilde, 1891). Est-ce si certain ? Si Oscar Wilde évoque cet aspect du travail journalistique, et notamment sa réception, en miroir de la littérature avec humour et piquant, il pointe du doigt un aspect essentiel :  le journalisme est une activité éminemment liée à l’écriture. Elle est d’ailleurs “une forme d’écriture basée sur la transmission de l’information”. Dans ce cadre, les professeurs documentalistes, maîtres d’œuvre de l’éducation aux médias et à l’information, sont amenés à “faire écrire” leurs élèves pour produire des œuvres médiatiques, qu’elles soient au format papier, numérique ou encore audiovisuel. Cette écriture peut alors être individuelle, mais aussi prendre la forme d’une collaboration à plusieurs voix. C’est ainsi que Raphaël Hérédia, de l’Académie de Besançon, et Marine Thomas, de l’Académie de Lille[2], ont engagé leurs élèves dans la prise en main d’outils d’écriture collaborative pour produire des podcasts, c’est-à-dire des fichiers audios et radios diffusés sur le web dans un objectif d’écoute différée du public cible.

            Quels outils d’écriture collaborative ont-ils utilisés dans ce but ? Quel intérêt y ont-ils trouvé en termes de promotion de l’intelligence collective au service de la création de podcasts ?

            C’est à ces questions que souhaite répondre cet article professionnel réflexif en évoquant tout d’abord les aspects institutionnels, théoriques et journalistiques que cela implique, puis en faisant le point sur les deux expériences professionnelles vécues dans leurs établissements respectifs auprès de leurs élèves en tant que professeurs documentalistes.

 

1.     La plus-value de l’écriture collaborative pour le podcasting

Quelques aspects institutionnels et théoriques

L’activité d’écriture collaborative nécessite de réfléchir à son utilité en relation avec l’objectif pédagogique fixé.

            En effet, cette activité peut prendre place pédagogiquement au sein du domaine 2 du socle commun de connaissances, de compétences et de culture, comme le rappelle le vademecum sur l’Éducation aux Médias et à l’Information où la coopération et la valorisation de projet est mise à l’honneur : “L’élève sait que la classe, l’école, l’établissement sont des lieux de collaboration, d’entraide et de mutualisation des savoirs. Il aide celui qui ne sait pas comme il apprend des autres. L’utilisation des outils numériques contribue à ces modalités d’organisation, d’échange et de collaboration.” L’usage des outils numériques y est alors fortement mis en avant : “L’élève sait mobiliser différents outils numériques pour créer des documents intégrant divers médias et les publier ou les transmettre, afin qu’ils soient consultables et utilisables par d’autres. Il sait réutiliser des productions collaboratives pour enrichir ses propres réalisations, dans le respect des règles du droit d’auteur”[3].

            Qui plus est, la communication et la collaboration sont évaluées au sein-même du Cadre de Référence des Compétences Numériques[4]. L’écriture collaborative prend alors tout son sens lors de la création d’émissions de podcasts. D’ailleurs, cela fait partie des préconisations du Vademecum EMI publié en 2022 pour la webradio et le podcasting : ainsi, il précise que “La webradio conjugue le travail sur les modes d’expression (oralité et écriture) avec ceux des techniques de réalisation (création, production et diffusion en ligne) et des démarches d’apprentissage collaboratives (investigation, projet). Mettre en œuvre une webradio avec ses élèves permet [donc] de développer et de valider des compétences transversales du socle commun, de maîtrise de la langue, de culture numérique et d’éducation aux médias et à l’information, de culture humaniste, sociale et civique, d’autonomie et d’initiative.”[5]

            A travers le recours à des dispositifs numériques d’écriture collaborative (donc l’écriture au sein d’un même document numérique par plusieurs personnes), la démarche s’inscrit dans le développement de la littératie numérique[6] des élèves, c’est-à-dire, selon la définition de l’Unesco, dans “l’utilisation confiante et critique d’une gamme complète de technologies numériques pour l’information, la communication et la résolution de problèmes de base dans tous les aspects de la vie. Il s’appuie sur des compétences de base en TIC : l’utilisation des ordinateurs pour récupérer, évaluer, stocker, produire, présenter et échanger des informations, et pour communiquer et participer à des réseaux collaboratifs via Internet.”[7] Anne-Marie Petit-Jean et Magali Brunel, chercheures, invitent d’ailleurs aussi à envisager l’usage du numérique comme un moyen pour (re)lancer et investir la ou les communication(s) entre élèves[8].

Ainsi, concourant à valoriser l’école comme étant un lieu de collaboration, de coopération et de création de projets, l’écriture collaborative peut alors œuvrer à développer également des démarches d’apprentissage collaboratives entre élèves, la maîtrise de la langue et de l’écriture, leur éducation aux médias et à l’information et enfin leur littératie numérique, le tout conformément au CRCN.

Si ces aspects peuvent prendre place au sein de l’Éducation Nationale, ils s’inscrivent aussi dans le cadre plus large et professionnel de l’activité journalistique strico sensu.

De l’observation collaborative dans le monde journalistique

Afin de démontrer de quelle façon cette démarche suit la voie de l’écriture médiatique “telle qu’elle se fait” professionnellement, il nous semble important de rappeler les liens qui existent entre écriture collaborative et monde du journalisme.

Il semblerait que les journalistes aient recours à cette dimension collaborative, notamment dans les médias participatifs. Nous observons deux modalités de contexte :

Tout d’abord, nous pouvons trouver des modalités internes (entre journalistes) de type “journalisme collaboratif”.

Le journalisme collaboratif prend alors plusieurs formes :

  1. Rédaction collective d’articles : plusieurs journalistes contribuant à un même article en partageant des informations, des sources et en rédigeant différents segments ou parties de l’article.
  2. Enquêtes collaboratives : sur des sujets complexes, parfois sensibles, les journalistes travaillent ensemble sur de longs projets d’investigation, partageant ressources, données. Des plateformes collaboratives peuvent alors permettre à des journalistes du monde entier de collaborer sur des histoires, de partager des informations.
  3. Édition collaborative : les journalistes collaborent également dans le processus d’édition, en révisant et en améliorant le travail les uns des autres pour garantir la qualité et l’exactitude des reportages.
  4. Partages en temps réel : partager des idées, des recherches ou brouillons,  suivre l’avancement des projets.

Toutefois, il semble important de noter que la collaboration pour l’écriture journalistique au sens strict n’est pas prépondérante (malgré la co-autorisation, l’utilisation de plateformes collaboratives pour faciliter le travail collectif, le partage d’ idées, ou la collaboration transfrontalière pour des reportages) : l’accent sur les outils de recherche d’informations, de mise en forme et de correction, de prise de notes, de fact-checking, de production multimédia et de publication en ligne, ou de retranscription de contenus audio/vidéo.[9][10]

Ensuite, nous pouvons trouver des modalités externalisées de type “journalisme participatif” ou “citoyen” (lien entre journalistes et lecteurs-internautes-équipes participatives).

Au delà de l’écriture collaborative sur le “purement textuel”, ce sont d’autres pratiques collaboratives qui sont observées[11] : certains sites web de journalisme participatif mettent en place des processus de contrôle et de sélection des articles soumis par les lecteurs[12], avec une validation par un comité de rédaction. Cela permet d’impliquer le public dans la production de contenu tout en maintenant un certain niveau de qualité.

Conformément à ces aspects institutionnels, théoriques et journalistiques, l’écriture collaborative[13] peut alors être investie dans le cadre de la création de podcasts.

2. Présentation de deux modalités pédagogiques d’écriture collaborative pour préparer la réalisation de podcasts :

 

Ainsi, l’utilisation d’outils d’écriture collaborative a permis de recourir à l’intelligence collective des élèves dans le cadre de deux projets de podcasting dans deux établissements de deux académies différentes. Cette intelligence collective peut être définie comme “la capacité d’une communauté à mettre en synergie intelligence, compétences et connaissances de ses membres, pour tendre vers un objectif commun. Concept proche, la co-créativité qui repose sur un partage des points de vue permet également de susciter un grand nombre d’idées.”[14]

Dans le cadre de la création de podcast, l’écriture collaborative[15] a alors servi à :

  • améliorer les modalités de mise en commun des parties écrites et de la scénarisation de la production.
  • observer rapidement les parties des autres (exemple : un animateur ou un journaliste, lors d’une reprise, peut avoir besoin de savoir ce qui est énoncé par les autres).
  • favoriser la discussion et la négociation entre deux ou plusieurs élèves tout au long du processus rédactionnel.
  • motiver des élèves ou débloquer l’écriture en observant les autres.
  • favoriser l’aide entre pairs (correction, usage du chat pour un renseignement).

Toutefois, pour que l’intelligence collective se déploie efficacement, elle nécessite un cadre bien structuré afin que les règles d’usage et de bon fonctionnement de l’outil puissent avoir lieu.

Raphaël Hérédia, Académie de Besançon, et Marine Thomas, Académie de Lille, ont dès lors eu recours à des outils d’écriture collaborative pour que leurs élèves créent des podcasts.

 

a. Un scénario pédagogique sur l’écriture collaborative pour le podcast (Académie de Lille)

Dans le cas de Marine Thomas dont les modalités de la séquence ont été détaillées sur le site des professeurs documentalistes de l’académie de Lille[16], l’expérience s’est avérée concluante. En effet, l’objectif de création de trois épisodes de podcast a été rendu possible par l’investissement de l’intelligence collective des élèves via un outil d’écriture collaborative. Cette intelligence collective, selon Pierre Lévy, représente en effet la façon dont un groupe réussit à atteindre un objectif commun, à produire un projet collectif, en utilisant les connaissances, les compétences et l’intelligence de chacun de ses membres[17], ce qui a de facto concerné les élèves du collège d’Auchy-les-Hesdin puisqu’ils sont arrivés au terme du projet : créer trois émissions de podcast[18].

Pour ce faire, la sensibilisation à la mise en place des conférences de rédaction par les journalistes a en amont été le premier point d’investissement de l’intelligence collective, puisque ce moment relève du stade où la production attendue est discutée collectivement[19]. A ce moment, les élèves sont amenés à construire une vision partagée du travail final[20].

  • Pour ce faire, il s’agissait d’orienter l’action des élèves, la partie du podcast dont chacun allait devoir s’occuper, et se mettre d’accord collectivement pour ensuite engager l’action d’écriture. La dynamique qui en résulta responsabilisait dès lors chacun, encourageant à produire de l’énergie dans un but actif.
  • La professeure documentaliste représentait à ce stade une sorte de leader permettant d’impulser une intention, intention ici de produire des podcasts portant sur le sport et les Jeux Olympiques : si les élèves ont eu le choix des sous-thématiques, ce ne fut pas le cas de cette grande directive qui fut imposée par l’enseignante. Cette vision fut en effet travaillée et enrichie avec et par les élèves en les laissant proposer des sous-thématiques, elles-mêmes subdivisées en sous-parties construites par petits groupes, enrichissant alors le projet en co-construction par leurs différences, leurs personnalités et leurs goûts multiples.

Après cette phase de conférence de redaction, l’outil d’écriture collaborative utilisé pour passer à la phase de recherche, de collecte, puis d’écriture des productions de chaque sous-partie par petit groupe, a alors été Digidoc[21], issu de La Digitale. Ce point a son importance : Digidoc, logiciel de traitement de texte collaboratif en ligne, relève du logiciel libre et permet donc de faire d’ores et déjà entrer les élèves dans une réflexion commune et collective. En effet, le logiciel libre résulte en lui-même d’“une nouvelle forme d’intelligence collective humaine […] : grand nombre d’agents, stigmergie, inter-régulation.”[22] L’intérêt de ce choix fut donc évoqué auprès des élèves.

Les élèves sont ensuite passés aux phases de recherche, de collecte et de mise en forme de leurs différentes sous-parties, en groupes de trois, pour ensuite consulter et remanier les parties des autres petits groupes, en classe entière. Ils ont ainsi constitué des groupes d’écriture numérique. Les différents textes qu’ils ont créés par groupes de trois (par exemple, un petit groupe ayant réalisé des recherches et construit un texte autour de “Jeannie Longo”, un autre petit groupe autour du curling, etc.) et qu’ils ont pu modifier en direct, ont ensuite été mis bout à bout pour constituer un texte collectif commun, leurs sous-parties étant in fine comprises dans un sujet plus global unique.

Ce moment de l’écriture a nécessité des qualités d’adaptation de la part des élèves. Ils durent ainsi apprendre à s’entendre, à négocier, à faire preuve de tact[23]. C’est ainsi que la rigueur dans la citation de sources put créer quelques tensions entre élèves, certains petits groupes étant moins enclins à citer correctement les sources lors de la phase d’écriture[24], ce qui par la suite aurait pu engendrer des soucis lors de la diffusion des émissions, certaines sources pouvant manquer.

Ils durent en effet comprendre que l’écriture n’était qu’une condition pour que cette création commune puisse être ensuite répétée puis enregistrée à l’oral sous forme d’un podcast en classe entière. Ainsi, leur coécriture puis leur corévision avaient pour objectif de se motiver et de se réguler, dans une dynamique de rétroaction formative[25], afin de structurer un écrit destiné à être lu et enregistré oralement de façon collective, et donc pensé ainsi dès la phase d’écriture pour donner l’illusion d’un oral “non-lu”.

Si cette expérience fut concluante, il convient de garder à l’esprit que les résultats peuvent aussi être mitigés en fonction de la capacité des élèves à, en partie, s’autogérer et planifier l’écriture à plusieurs mains[26]. La collaboration n’est en effet pas forcément synonyme d’une co-construction systématiquement et automatiquement positive. La motivation et la concentration s’avèrent donc prépondérantes afin que la démarche soit productive.

B. Une activité pédagogique intégrant l’usage des forums ouverts de l’ENT pour le podcast (Académie de Besançon)

Voici alors le retour de Raphaël Heredia quant au projet mené dans son établissement :

Avec une enseignant d’anglais et un groupe de 4e volontaires, nous avons décidé de nous lancer dans l’écriture de podcasts sur l’analyse critique d’épisodes de série, sur un thème de société en impliquant les outils de l’ENT des élèves. Une page Eduscol recense les possibilités qu’impliquent ces environnements[27].

Il s’agissait de :

  • visionner l’épisode
  • définir des pistes de travail : trame scénaristique, thèmes, enjeux sociaux, interprétation.
  • Créer des entrées du forum correspondant à ces pistes.
  • Proposer aux élèves d’agrémenter chaque entrée avec ses idées.
  • Proposer une étapes de remise en ordre des idées, afin d’arriver à une trame scénaristique et à un texte pour le podcast.
  • Traduire les textes produits en anglais.
  • Enregistrer les voix des élèves et illustrer le podcast grâce à notre plateau radio (trois micros, une table de mixage et un ordinateur).

A ce titre, nous avons ouvert un espace forum dans l’ENT en donnant des droits d’écriture aux élèves du projets.

A ce lien, nous avons publié plusieurs “entrées” selon un point précis du podcast futur.

Le forum étant un espace de discussion sécurisé, son administrateur peut assurer une modération des commentaires. Il s’agissait pour chaque élève du groupe de pouvoir contribuer à chaque “entrée”.

 

 

 

Un exemple de travail réalisé

 

  • Retour sur l’activité
  • L’usage du forum permet de garder une trace du cheminement des élèves (on ne supprime pas le contenu des autres mais on peut garder chaque idée ou message)
  • l’enseignant peut participer, corriger si besoin.
  • L’usage des forums a permis de créer des catégories par partie du podcast, des éléments d’information sur la répartition des tâches. Chaque élève peut mettre un message à la suite de ceux des autres sur un sujet.
  • L’outil d’écriture dans le forum a également un correcteur d’orthographe.

 

  • Difficultés :
  • Pris par le temps, nous n’avons pas effectué la phase de traduction de manière collaborative (ce qui aurait pu être intéressant). Le côté “écriture collaborative” a été présent pendant la phase de découpage du podcast, l’écriture des idées, et le texte final en français. Devant l’exigence de l’exercice de traduction et certaines difficultés liées à notre groupe, il nous a semblé difficile de ne pas être directif afin d’avoir une qualité d’écriture suffisante pour notre proposition de publication de podcast.
  • Aussi, il faudrait retenter l’expérience avec d’autres groupes afin de réellement créer une dynamique d’écriture à plusieurs mains sur un moment de traduction.
  • A ce stade, il est difficile de savoir si la collaboration d’écriture aurait fonctionné sans notre guidage auprès des élèves. Si les outils du forum sont un réel apport pour se répartir le travail et fonctionner parfois de manière asynchrone, il est nécessaire de cadrer l’usage du forum et les modalités de l’écriture collaborative.

A noter : finalement l’activité de collaboration sur un forum (par rapport à un pad par exemple) est davantage segmentée. Il aurait été pertinent de prolonger le temps du forum par un temps d’écriture sur pad.

 

Créer un forum dans Eclat-BFC (Académie de Besançon) : tutoriel

Conclusion générale

Si le travail de rédaction collectif avec le numérique peut donc porter ses fruits, comme le démontrent certains écrits institutionnels, scientifiques et professionnels, la mise en œuvre effective avec le professeur documentaliste peut donc faire aussi l’objet d’essais et d’erreurs, de réussites et de déceptions.

Alors, pour en revenir à notre introduction, l’écriture journalistique serait-elle seulement illisible mais beaucoup lue ? Ici ni diffusée pour être lue par un public (puisqu’il s’agit de podcasts), ni illisible (puisque les élèves ont pris le temps de co-réguler leurs écrits, avec la supervision de leurs professeurs documentalistes), l’écriture collaborative mise en œuvre a révélé des potentialités en termes de recours à l’intelligence collective, de même que des freins et des difficultés.

Finalement, “Plutôt que d’opposer l’attention requise par le livre à la distraction provoquée par le numérique, il conviendrait [peut-être] de mobiliser toutes les forces pour tenter de réfléchir à un enseignement critique de l’écriture numérique à l’école” [28]. L’écriture collaborative en ligne ne pourrait-elle pas dès lors représenter une porte d’entrée intelligente et collective vers une approche critique de cette écriture numérique à l’école ?

 

Article réflexif réalisé par Marine Thomas, Académie de Lille, et Raphaël Hérédia, Académie de Besançon, dans le cadre des TraAM Documentation 2023-2024.

 

 

[1] Wilde, O. « The Critic as Artist » (1891). The Complete Works of Oscar Wilde: Volume IV, Criticism: Historical Criticism, Intentions, The Soul of Man. Josephine Guy, Ian Small (eds.). Oxford; New York: Oxford UP2013.

[2] Thomas, M. (2024). Préparation collective d’une émission de podcast à l’aide d’un outil d’écriture collaborative – Documentation Lille. https://pedagogie.ac-lille.fr/prof-doc/preparation-collective-dune-emission-de-podcast-a-laide-dun-outil-decriture-collaborative/

[3] Vademecum éducation aux médias et à l’information. (2022). Ministère de l’Education Nationale et de la Jeunesse. https://eduscol.education.fr/document/33370/download?attachment

[4] Repères de progressivité de la maîtrise des compétences numériques. (s. d.). Ministère de l’Education Nationale et de la Jeunesse. https://eduscol.education.fr/document/20389/download

[5] Vademecum éducation aux médias et à l’information. (2022). Ministère de l’Education Nationale et de la Jeunesse. https://eduscol.education.fr/document/33370/download?attachment

[6] Petit, V. & Bouchardon, S. (2017). L’écriture numérique ou l’écriture selon les machines. Enjeux philosophiques et pédagogiques. Communication & langages, 191, 129-148. https://doi-org.ressources-electroniques.univ-lille.fr/10.3917/comla.191.0129

[7] Littératie numérique. (2023, 12 septembre). UNESCO UIS. https://uis.unesco.org/fr/node/4789131

[8] Petitjean, A. & Brunel, M. (2018). Quand les enseignants se risquent à la culture numérique : quel enseignement de l’écriture littéraire ?. Le français aujourd’hui, 200, 11-18. https://doi-org.ressources-electroniques.univ-lille.fr/10.3917/lfa.200.0011

[9] De Chevigny, I. (2023, 30 novembre). Les outils et technologies qui facilitent le travail des journalistes en 2024. MediaConnect. https://mediaconnect.com/les-outils-et-technologies-qui-facilitent-le-travail-des-journalistes-en-2024

[10] Moussang, A. E. E. (s. d.). Voici les outils à connaître pour atteindre une grande audience | Réseau international des journalistes. Réseau International des Journalistes. https://ijnet.org/fr/story/voici-les-outils-%C3%A0-conna%C3%AEtre-pour-atteindre-une-grande-audience

[11] Agostinelli, S., Augey, D., & Laurie, F. (éds.). (2010). Entre communautés et mobilité : une approche interdisciplinaire des médias (1‑). Presses des Mines. https://doi.org/10.4000/books.pressesmines.658

[12] Roosen, M. (2020, 10 février). Les médias doivent-ils co-créer l’information avec leurs lecteurs  ; ? L’ADN. https://www.ladn.eu/media-mutants/presse-et-nouvelles-ecritures/medias-co-creer-information-avec-lecteurs/

[13] Lecture-écriture coopérative. Wiki-TEDia. https://wiki.teluq.ca/wikitedia/index.php/Lecture-%C3%A9criture_coop%C3%A9rative

[14] Yanat, Z. (2020). Éditorial. Management & Sciences Sociales, 28, 2-3. https://doi-org.ressources-electroniques.univ-lille.fr/10.3917/mss.028.0002

[15] Lecture-écriture coopérative. Wiki-TEDia. https://wiki.teluq.ca/wikitedia/index.php/Lecture-%C3%A9criture_coop%C3%A9rative

[16] Thomas, M. (2024). Préparation collective d’une émission de podcast à l’aide d’un outil d’écriture collaborative – Documentation Lille. https://pedagogie.ac-lille.fr/prof-doc/preparation-collective-dune-emission-de-podcast-a-laide-dun-outil-decriture-collaborative/

[17] Lévy, P. (1997). L’intelligence collective : pour une anthropologie du cyberespace. La Découverte.

[18] Audioblog | Collège Jean Rostand d’Auchy-les-Hesdin. (s. d.). https://audioblog.arteradio.com/blog/231205/college-jean-rostand-d-auchy-les-hesdin

[19] 02. Les conférences de rédaction – 24h dans une rédaction. (2020, 19 décembre). 24h dans une rédaction. https://24hdansuneredaction.com/presse/2-les-conferences-de-redaction/

[20] Arnaud, B. & Caruso Cahn, S. (2019). Outil 13. La vision partagée. Dans : , B. Arnaud & S. Caruso Cahn (Dir), La boîte à outils de l’intelligence collective (pp. 50-53). Paris: Dunod.

[21] Digidoc by La Digitale. (s. d.). https://ladigitale.dev/digidoc/

[22] Laniau, J. (2009). Vers une nouvelle forme d’intelligence collective ?. Empan, 76, 83-91. https://doi.org/10.3917/empa.076.0083

[23] De Certeau, M. (1980). L’invention du quotidien. Folio essais.

[24] Sahut, G. (2014). « Citez vos sources » : archéologie d’une règle au cœur du savoir wikipédien (2002-2008). Études de communication, 42, 97-110. https://doi.org/10.4000/edc.5721

[25] Lecture-écriture coopérative. Wiki-TEDia. https://wiki.teluq.ca/wikitedia/index.php/Lecture- %C3%A9criture_coop%C3%A9rative

[26] Hébert, M. (2021). Écriture collaborative : effets sur la qualité des textes produits par des apprenants en classe de français langue d’enseignement au secondaire. Université du Québec à Montréal. https://archipel.uqam.ca/15286/1/M17303.pdf

[27] Usage des espaces numériques de travail. https://eduscol.education.fr/199/usages-des-espaces-numeriques-de-travail-ent

[28] Petit, V. & Bouchardon, S. (2017). L’écriture numérique ou l’écriture selon les machines. Enjeux philosophiques et pédagogiques. Communication & langages, 191, 129-148. https://doi-org.ressources-electroniques.univ-lille.fr/10.3917/comla.191.0129

ENT et logiciels d’écriture collaboratifs : des outils au service de l’activité journalistique de création de podcasts
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